avec 3 films du maître japonais :
Le Repas (1951)
Nuages Flottants (1955)
Nuages d’été (1958)
chez wildside, collection : Les Introuvables
pause musicale : YAMATE DORI : danzei
à la prochaine !
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Une sélection de techno-coyo et de new wave japonaise, avec :
LES SOEURS DU LILAS NOIR : Laurie
HARA MASUMI : yoru no sachi
HIKASHU : song of air
CIOCCOLATA : Nina from the dark moon
AKIKO YANO : haro haru sakiko beni
HARUOMI HOSONO : Funiculi funicula
YUKIHIRO TAKAHASHI : flashback
SUPER ECCENTRIC THEATER : Oh, les beaux japonais !
YAPOOS : instinct girl
MELON : I will call you and other famous last words
P-MODEL : art mania
URBAN DANCE : ceramic love
WHA-HA-HA : rice & soy
MIHARU KOSHI : capricious salad
DIP IN THE POOL : pinkdelight
THE TARGETS : visage
TESTPATTERN : sea breeze
YELLOW MAGIC ORCHESTRA : music plans
JUN TOGAWA : Sayonara’o oshiite
UCHÔTEN : sleepers
THE LIZARD : the land
TSUNEMATSU MASATOSHI : gears
FRICTION : new sensation
MAMI YAMASE : buriko
PHEW : signal
BEATA BEATRIX : objet d’amour
RYUICHI SAKAMOTO : riot in lagos
EP-4 : five to one
bien à vous
O yasumi nasai
à la prochaine , mélomanes nocturnes et bises aux hiboux…
Contact : hvalmitdereksein
(at) yahoo.fr
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Bien à vous, mélomanes nocturnes !
Pour accompagner le couché du soleil ce dernier soir d’avril, nous filons au pays du soleil levant et faisons suite à la série Asia Major avec un mix entièrement consacré aux années 80 japonaises.
Avec de la new wave et de la techno-coyo.
De la new wave selon le dogme new wave bien entendu , quant à la techno-coyo, pour rappel, il s’agit de la technopop ou synth-pop 80’s selon la grammaire de la sacro-sainte trilogie (TELEX, KRAFTWERK, YELLOW MAGIC ORCHESTRA) remaquillée de mélodies typiquement japonaises…
On ne se privera pas d’insister sur nos chouchous et nous vous souhaitons deux heures de pur plaisir sucré et ténébreux….
Playlist arrivera comme d’habitude dès que possible, fraîche et complète….
contact : hvalmitdereksein
@yahoo.fr
Prog. proposée par EG/Derek Sein
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avec :
LA FLEUR DU MAL (cinéart)
LANDRU (les films de ma vie)
L’OEIL DU MALIN (les films de ma vie)
L’OEIL DE VICHY (first run features)
et notre pause musicale :
DIDO-SHIZURU OHTAKA/MICHIAKI KATO UNIT : mermaid
à la prochaine !!!!
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Inévitable.
Oh , fans des nouvelles hybrides, la vénération que j’ai pour MIHARU KOSHI n’est plus un secret pour aucun d’entre vous.
A la fin des années 70, MIHARU signera un premier contrat avec un producteur bien décidé à la transformer en éphémère diva J-pop, crème de hit parade. Pourtant , rapidement, elle se rendra compte que ,forte de sa formation classique et de ses tentations d’expérimentations électroniques, cette première incursion sur le territoire discographique ne la satisfait pas. De plus, elle veut faire valoir son propre univers musical et non être une poupée emprisonnée dans la course aux hits ! Deux rencontres importantes vont l’aider à se sortir de ce premier pas malheureux dont elle renie discrètement les disques désormais . Haruomi Hosono, de Yellow Magic Orchestra avec lequel elle développera une complicité musicale qui perdure encore de nos jours, lui propose de rejoindre l’écurie de YEN records, sous label de ALFA dirigé par Hosono et Takahashi et dévolu à la technopop et à la techno-coyo. Là , MIHARU débute sa mutation en égérie new wave et technopop et s’en vient en Belgique afin de travailler avec le trio TELEX. Résultat , son premier album personnel : TUTU et deux petit hits européens : « petit paradis » et « l’amour toujours » repris avec TELEX. Et aussi , à cette époque, ma rencontre avec la délicieuse MIHARU.
Depuis, elle continue à enregistrer des albums, changeant assez souvent de label, en y fusionnant ses amours et ses références : Satie, la techno, Fauré, le symbolisme belge, la techno-coyo, le cabaret, la bonne vieille chanson rive gauche, les programmations électroniques de KOJI UENO, sa technique de chant instantanément reconnaissable et son art du tintinabuli électronique.
Elle continue à collaborer avec Hosono, entre autre pour le projet SWING SLOW, se retrouve embarquée dans les tentatives ambient de BILL LASWELL, ou joue la vocaliste de luxe sur les albums de Jun Miyake.
L’année passée, MIHARU KOSHI nous a fait la merveilleuse surprise de revenir avec un superbe album : Le Judas, où elle prouve avec toute légèreté , qu’elle est loin d’avoir dit son dernier mot.
Praise to MIHARU KOSHI, musicienne que j’admire depuis une trentaine d’années pour son travail , son intégrité et aussi la force de s’être imposée sur un territoire assez machiste en tant que compositrice, chanteuse, parolière, productrice de talent, etc……..
Ce soir , les nouvelles hybrides vous proposent avant une surprise nocturne en rapport avec les 20 ans de l’émission, de passer une nuit de kokoro avec la sublime MIHARU.
Plus tard, playlist détaillée et complète du programme .
Proposé par DEREK SEIN
Contact : hvalmitdereksein
@yahoo.fr
MY MESSAGE IS LOVE.
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