La radio de la communauté de l'Université Libre de Bruxelles
Posté le 17 avril 2012 à 14 h 17 min
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Étiquettes : Carnet de route · samarcande
Chicochic est né au Sénégal, il est en Belgique depuis peu de temps, il a trouvé un lieu où il sent à l’aise, un peu comme une seconde famille à Fédasil, un centre qui accueille les jeunes ménas, des jeunes gens issus de divers continents. Ces jeunes qui communiquent comme ils peuvent le soir dans leur chambre. Il explique son émotion liée à l’équipe, à tous ces gens-là. C’est un peu de l’amour tout cela, un amour transitoire qu’il faudra bientôt quitter vers l’inconnu. Une seconde rupture. Dans ce carnet de route, la maman de Chicochic est fort présente, il en parle aussi en s’inspirant de la musique de Sexion d’assaut. Chicochic ne sait pas qu’ils ont créé la polémique chez nous. Il ne fera qu’associer ces paroles à lui, à sa famille, à sa maman. Play list: Sexion d’assaut. Avant qu’elle parte. Wati by night. Désolé/ La fouine papa. Je regarde là haut/ soprano
Posté le 28 mars 2012 à 10 h 06 min
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Le Carnet de Route de La Lune
« En Belgique, on prend soin des êtres humains. »
La Lune est un jeune originaire de Douala au Cameroun. Dans son carnet de route, il nous parle de la jeunesse africaine de son pays ; des jeunes qui, comme lui, doivent travailler pour pouvoir payer l’école, des jeunes qui n’ont pas le temps ni les moyens d’accéder aux loisirs ou à la santé. Il pense que l’on peut l’aider en s’adressant aux gouvernements parce qu’il est urgent de s’occuper de cette jeunesse-là : garantir des études, garantir la santé, un rêve d’avenir car ici, en Belgique, on prend soin
des êtres humains.
Posté le 21 mars 2012 à 12 h 17 min
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Le carnet de route de Renaud
Renaud a 15 ans et il aimerait pouvoir renouer des liens avec l’ensemble de sa famille « c’est pas facile de choisir avec qui vivre. Avec maman ou papa, gros dilemme quand on a 12 ou 13 ans. Entre trop ou pas assez d’autorité. Et puis il y a la rue, les copains pas toujours malins qui nous proposent des trucs : fumer un joint, boire, sortir entre potes, jusqu’au placement où il faut réfléchir à moins bousiller nos vies, à nous poser des questions parce qu’un jour quoi qu’on dise et quoi qu’on fasse, on deviendra grand. Mais si possible, avec l’aide de mes parents.
Posté le 29 février 2012 à 11 h 09 min
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Mimi a 16 ans, elle est placée en IPPJ pour quelques mois. Elle n’accepte pas son placement. Elle vient d’apprendre qu’il sera un peu plus long que prévu, elle trouve la décision injuste et explique les raisons pour lesquelles les jeunes y sont placés, en général pour des faits de délinquance. Mimi parle de son quotidien, des fugues et de la violence. Pourquoi elle aime son ami qui parfois la frappe? Pourquoi ne pourrait-elle pas poser des questions à sa maman? Pourquoi se sentirait-elle obligée de porter le foulard?
Posté le 15 février 2012 à 9 h 27 min
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Ce mercredi, le Carnet de Route quitte les IPPJ pour se rendre à Bruxelles. Pour cette fois, il se pose à SOS jeunes (une AMO située à Ixelles).
Mc a 18 ans, il nous parle de l’absence de famille depuis son placement en internat à l’âge de 3 ans. Il explique (à l’attention d’autres jeunes) pourquoi on ne peut pas en vouloir à ses parents, pourquoi il est parfois préférable de s’éloigner d’eux pour mieux se (re)construire. Parfois, un texte de rap que l’on improvise en dit plus qu’un long discours et peut être même que l’improvisation et la confiance font bon ménage ! (…), à vous d’entendre !
Posté le 25 janvier 2012 à 12 h 03 min
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Fasa aime, elle a désiré un enfant, elle sait qu’il est trot tôt pour être mère.
Fasa écrit beaucoup : des textes qu’elle interprète, des textes qui racontent sa souffrance, ce qu’elle a vu dans les institutions psychiatrique.
Elle aime ses parents, sa sœur, son ami de 26 ans.
Elle observe le curé lorsque qu’il parle de dieu, elle observe l’institution ippj et sait poser un regard critique.
Est- ce de la faute des parents ? Est-ce une punition ou une volonté de rééduquer le jeune ?
Fasa était âgée de 15 ans lorsqu’elle a réalisé ce carnet de route en 2009.
Posté le 18 janvier 2012 à 12 h 57 min
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« Le carnet de route de Boka »
Mercredi 18 janvier de 15h à 16h
sur Radio Campus 92.1 FM, et sur www.samarcande.be
Rediffusions :
Rediffusions : le jeudi de 9h à 10h sur Radio Panik (Bruxelles – 105,4fm), le jeudi de 17 à 18h sur YouFm (Mons – 106.9fm),
le dimanche (1 fois sur 2) de 14 à 15h sur 48fm (Liège – 105.0fm)
Boka est un jeune africain. Il nous rappelle qu’il existe d’autres manières de vivre en société. En Afrique, dans certain village, si nous avons du pétrole et de l’huile cela fait partie de l’essentiel, ensuite nous avons besoin d’un potager et de quelques bêtes pour la nourriture (…) Savez- vous monsieur, que je peux « hériter » des femmes de mon père, et si elles ont chacune un enfant je devrais également m’en occuper (…) Au sujet de la danse en Afrique, nous avons hérité d’une énergie que vous les blancs ne « possédez » pas, Boka aimerait pratiquer la boxe même si une carrière sportive n’est pas facile. Malgré tout cela, regardez comme les blancs vivent mieux, ici on peut dire dans la rue ce que l’on pense de son gouvernement. Boka peux s’habituer à d’autres coutumes mais on ne peut pas oublier ses origines.
« Dieu » aurait-il créé l’Homme africain en dansant ?
Bonne écoute!! Et n’hésitez pas à nous envoyer vos commentaires, encourager les jeunes!
Christian FALONE
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