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La radio de la communauté de l'Université Libre de Bruxelles

Histoire de savoir / Sciences exactes du mardi 25 février à 18h15 / MATHÉMATICIEN, TOP PROFESSION

• Après un survol de l’actualité mathématique ulbienne de pointe, on aborde l’enquête réalisée par nos invités sur les débouchés des études de mathématiques. Les résultats sont surprenants : quasi tous les matheux (qui ont répondu à l’enquête) trouvent du boulot moins d’un an après leurs études…

Cette enquête complète les précédentes, et indique des tendances à moyen terme.

Julie De Saedeleer étant basée à Oakland, nous l’avons interviewée par Skype. Elle nous donne quelques aperçu de la vie mathématique oaklandaise et de sa passion pour les questions d’enseignement des maths !

À noter que la première du film Comment j’ai détesté les mathématiques s aura lieu au cinéma Aventure à Bruxelles (non le 11, comme précédemment annoncé mais) le jeudi 13 mars à 20h. Il est prudent de réserver !

Avec:

Luc LEMAIRE, prof émérite de l’ULB
Julie DE SAEDELEER, professional teaching fellow, Uty of Oakland, NZ

Europolis du lundi 17 février à 18h15

Au printemps 1994, le génocide perpétré au Rwanda contre les Tutsis constitua le point d’orgue d’une politique de discrimination systématique menée depuis les premiers jours de l’Indépendance, et la manifestation la plus paroxystique de la logique d’ethnicisation de la société rwandaise développée par le colonisateur depuis un siècle.

Aujourd’hui, la société rwandaise s’est reconstruite sur les décombres de la guerre civile, mais aussi du génocide, des violences qui l’ont précédé et de l’idéologie de la haine construite depuis des décennies au Rwanda. Des politiques de la mémoire, officielles ou non, se sont mises en place, au niveau national comme au niveau local, des rituels commémoratifs ont été élaborés, des lieux de mémoire institués.

Ce sont ces « politiques » diverses de la mémoire, les logiques qu’elles développent et leur rapport à l’écriture de l’histoire du génocide que la journée d’étude « Vingt ans après le génocide: les politiques de la mémoire au Rwanda » entend questionner. Elle rassemblera en effet des chercheurs universitaires qui travaillent sur ces questions, en privilégiant les travaux de jeunes chercheurs.

Aujourd’hui, dans Europolis, on vca s’arrêter sur 2 études liées à ces politiques de Mémoires au Rwanda.

 Florence Rasmont, historienne en histoire contemporaine à l’ULB évoque La mise en place des commémorations du génocide des Tutsi depuis 1994

 Emilie Brébant (ULB), anthropologue à l’ULB nous parle, elle de son sujet d’étude:  » Le sanctuaire marial de Kibeho (Rwanda) : une expression catholique et africaine de la modernité religieuse ? « . 

Histoire de Savoir — Les cafés branchés de Bruxelles — mercredi @18h15, jeudi @9h

L’ouverture de cafés branchés dans des quartiers populaires favorisent-ils la mixité sociale ? C’est la question que ce sont posés Daniel Zamora et Mathieu Van Criekingen, deux chercheurs de l’ULB. L’étude est à découvrir sur le site de IEB

Pauses musicales en creative commons :
Pull My Daisy – Abattoir (FWB)
The Melchiades Estrada Band – O.N.S. (FWB)

Dès demain, retrouvez l’émission en podcast sur Mixcloud !

Histoire de savoir / Sciences exactes ce mardi 11 février à 18h15 / LE CHIEN DE GOYET

• Au XIXe siècle, les fouilles paléontologiques ramenaient au jour

beaucoup plus de fossiles que les chercheurs ne pouvaient en étudier.

Les caves de l’Institut des Sciences naturelles recèlent des trésors qui

doivent toujours être étudiés aujourd’hui ! De plus, l’évolution des

techniques et des outils d’analyse obligent les chercheurs à revisiter leurs

copies : datation au carbone 14 et surtout analyse de l’ADN renouvellent

nos idées. C’est ainsi que Mietje Germonpré, avec une trentaine de

chercheurs, vient de publier un article dans Science autour d’un crâne

fossile trouvé par Édouard Dupont dans les grottes de Goyet et qu’on

pensait être celui d’un loup. Or, il s’avère que c’est celui d’un chien. Ce

qui repousse l’époque de la présence du chien dans nos régions de 12000

ans à 35000 ans ! Le « Chien de Goyet » fait partie d’une population

de canidés qui a disparu. Cette découverte renouvelle la question des

ancêtres de nos chiens modernes, de la domestication, de la vie de nos

ancêtres préhistoriques…

Mietje GERMONPRÉ, paléontologue au Musée des sciences naturelles

Histoire de savoir / Sciences exactes ce mardi 11 février à 18h15 / LE CHIEN DE GOYET

• Au XIXe siècle, les fouilles paléontologiques ramenaient au jour

beaucoup plus de fossiles que les chercheurs ne pouvaient en étudier.

Les caves de l’Institut des Sciences naturelles recèlent des trésors qui

doivent toujours être étudiés aujourd’hui ! De plus, l’évolution des

techniques et des outils d’analyse obligent les chercheurs à revisiter leurs

copies : datation au carbone 14 et surtout analyse de l’ADN renouvellent

nos idées. C’est ainsi que Mietje Germonpré, avec une trentaine de

chercheurs, vient de publier un article dans Science autour d’un crâne

fossile trouvé par Édouard Dupont dans les grottes de Goyet et qu’on

pensait être celui d’un loup. Or, il s’avère que c’est celui d’un chien. Ce

qui repousse l’époque de la présence du chien dans nos régions de 12000

ans à 35000 ans ! Le « Chien de Goyet » fait partie d’une population

de canidés qui a disparu. Cette découverte renouvelle la question des

ancêtres de nos chiens modernes, de la domestication, de la vie de nos

ancêtres préhistoriques…

Mietje GERMONPRÉ, paléontologue au Musée des sciences naturelles

Histoire de savoir / Sciences exactes ce mardi 4 février à 18h15 / L’EXPO ART & MATH

• De l’art, des maths ludiques. Une très belle expo, originale, qui réjouit

les sens et l’esprit.

Salle Allende, jusqu’au premier mars.

Infos : http://gatito.be/expo/2014/01/artmath-bientot/

 

Gisèle DEMEUR, prof maths, fac sc soc & politiques, ULB ; sculpteur

Samuel VERBIESE, ingénieur ULB, Artiste

Bertrand VELU, ingénieur gestion, et urbaniste, ULB

Europolis du lundi 3 février à 18h15

De nombreuses organisations scientifiques (universités, instituts de recherche,…) ont créé des dépôts permettant aux chercheurs de mettre leur production scientifique en ligne, la rendant ainsi  gratuitement accessibles sur le Web. Diversifiés, ces dépôts peuvent couvrir un domaine particulier (archive disciplinaire) ou contenir la production d’un organisme de recherche (dépôt institutionnel).  L’ULB n’est évidemment pas passé à côté de ce mouvement et veille à mettre en avant ses publications grâce à la diffusion en Open Access. On en parle aujourd’hui dans Europolis en compagnie de Françoise Vandooren, attachée à la direction des Archives et Bibliothèques de l’ULB.

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