L.O est un jeune de 16 ans, il a réalisé son récit de vie : celui d’un jeune qui a grandit à Verviers, qui n’aime pas particulièrement apprendre à l’école mais qui possède une mémoire qui lui permet de retenir les choses facilement, les langues notamment, l’anglais ou le russe, par curiosité. Sa vie lui semble monotone. Une vie monotone, est- ce le cas dans une IPPJ ? Et au fond, à quoi ça sert une IPPJ ? Est- ce que l’on a peur d’y entrer ? Comment l’imaginait-il ? Aurait- il pu éviter ce parcours ? Tous les jeunes ne prennent pas les mêmes routes et lorsqu’ils se retrouvent là- bas, ont-ils les mêmes étiquettes ? Et pourquoi faire le dur ? Le métier ou une passion peuvent- ils aider le jeune à se débarrasser de cette étiquette ? Et que faire après un passage en centre fermé pour le restant de sa vie ?
La radio de la communauté de l'Université Libre de Bruxelles