Les Grands Parents pour le Climat renouvellent leur « appel aux consciences » lancé en novembre dernier à la veille de la conférence de Paris sur le Climat. Résultat, une conférence universitaire et à un échange sur le thème « L’avenir sur le modèle du vivant ». Une conférence alors qu’experts du climat et ONG sont réuni à Marrakech jusqu’au 18/11 pour la COP22, le nouveau round de négociations internationales sur les changements climatiques. Concrètement, cet événement se déroule le Mercredi 16 novembre à 20 h àl’ULB (Campus du Solbosch) à l’auditoire Lameere autour d’une conférence tenue par Gauthier Chapelle, chercheur en biomimétisme, ingénieur agronome et docteur en biologie ; il est l’auteur du livre « Le vivant comme modèle » (Albin Michel, 2015). Pour en parler aujourd’hui :
· Thérèse Snoy (présidente de Grands-parents pour le climat, ancienne représentante du parti écolo ; elle connaît bien G. Chapelle et son dernier livre).
· Tom Bauler, Economiste écologique (IGEAT/ULB), vice-président de la European Society for Ecological Economics
· César Callebaut (étudiant en agronomie, Bio-ingénieur, membre de Campus en Transition, un cercle étudiant de l’ULB).
· Julien Martens, étudiant en sociologie, membre de Campus en Transition – ULB
Ensuite, Deuxième partie de cette émission consacrée à une journée d’information et de sensibilisation intitulée « Soignants, artistes, usagers : faire liens pour faire sens ». Vendredi 18 novembre 2016, de 9h à 17h30, Institut libre Marie Haps, rue d’Arlon 53, 1000 Bruxelles. Une journée à l’initiative de Culture & Démocratie et qui s’inscrivit dans sa mission première : faire vivre la culture dans la démocratie, faire vivre la démocratie dans la culture. Pour en parler, Catherine Vanandruel, coordinatrice et actrice du projet « clown à l’hôpital » qui prend place hebdomadairement à l’hôpital Saint Pierre et à Erasme, l’hôpital universitaire de l’ULB. Thème du jour : Comment l’usager accueille-t-il les projets artistiques dans les milieux de soins ? Comment soignants et artistes peuvent-ils aller à la rencontre de ses besoins ?