En 2015, quand le hashtag metoo est devenu viral, j’ai ressenti physiquement un soulèvement. Pas parce que j’apprenais quelque chose de neuf, non. Mais parce que cette vague, par sa simple existence, changeait le réel.
Une sensation que j’ai vécue, en miroir inverse, pendant la pandémie de 2019. La vague n’était pas du même registre.
C’est pourquoi j’ai choisi de réunir un groupe de femmes de tous les âges après ces événements.