dimanche 26 février de 15 à 20h au 22b rue des goujons, à Anderlecht > ducktape.edition organise un goûter pour partager un moment autour de deux nouvelles publications. Une édition de 12 posters A3.
Roméo Poirier – les encombres
Faraualla- Rumelaj
CHRONIQUE Romane – les graveuses belges. Aujourd’hui, Nicole Ickx
Tautumeitas – Raganu Nakts
Marina Satti et le quatuor grecque Foné
Madonna – Bedtime story
ITW Mélina Ghorafi et son Musogynie, le musée de mysogynie à découvrir à B.R.A.V.E
Documentaire radiophonique de 52 minutes Écriture et réalisation : Isabelle Sainte-Rose Composition musicale : Isabelle Sainte-Rose Interprétation musicale et voix : Isabelle Sainte-Rose Accompagnement à l’ écriture : Lucie Robet Prise de son studio : Matthieu Charray, Valérie Leclercq et Joachim Glaude Montage : Roxane Brunet Mixage : Joachim Glaude Production : Marianne Binard Illustration : Ivonne Gargano Production : Halolalune production Aide du FACR (Fédération Wallonie-Bruxelles) Soutien de l’Atelier de Création Sonore et Radiophonique
Isabelle se passionne pour le livre « C’est pour ton bien », d’Alice Miller. Ce livre écrit en 1980 parle des racines de la violence dans l’éducation des enfants et fait le constat de la présence de 17 principes de pédagogie noire. Isabelle décide de voir si et comment ces principes résonnent chez des personnes de son entourage : son père, quatre ami.e.s et deux professionnel.le.s de l’ONE (Office de la Naissance et de l’Enfance, en Wallonie-Bruxelles). Ces principes existent-ils encore aujourd’hui dans notre société ? Est-ce que la maltraitance se transmet de génération en génération ? Comment les personnes adultes vivent-elles avec la maltraitance qu’elles ont subie ? Combien de familles sont actuellement touchées ? Cela concerne-t-il uniquement les familles ou s’agit-il d’un sujet dont tout le monde se sent concerné ?
Voilà ce qui pousse la réalisatrice à vouloir ouvrir la parole sur le sujet, dans ce documentaire, mais aussi de façon plus large dans la société afin que tout le monde se sente concerné.
Pendant le tournage du documentaire, la mère d’Isabelle meurt. Cela va faire resurgir l’histoire personnelle de sa famille. Isabelle écrit à sa mère morte et c’est là que les récits et points de vue viennent s’entrecroiser et former un paysage sur ce sujet à la fois sensible et complexe qu’est la maltraitance des enfants.