L‘avez-vous déjà ressenti ? Ce besoin pressant, cette brûlure… pour finalement, rien. Enfin… trois gouttes peut-être. Il est probable que vous ayez déjà entendu parler de cystite et d’infection urinaire, qui touchent 50 % des femmes au moins une fois dans leur vie. Peu considérée par la médecine, cette pathologie largement répandue méritait bien un podcast !
Cystite Partout est un podcast en 6 épisodes coproduit par axelle magazine et réalisé par Ophélie Bouffil et Jeanne Nabulsi, du collectif radiophonique bruxellois Les Microsondes, avec la contribution des participant·es aux ateliers “Cystite et Podcast” qu’elles ont impulsés en 2023.
À travers le récit personnel, vocal et choral de Cystité·es (terme inclusif inventé dans ce podcast pour désigner sans distinction de genre les personnes souffrant de cystite récidivante), cette série chemine du vécu des personnes touchées par cette pathologie vers des questionnements plus larges sur la société, nos systèmes de soins, l’espace public et le collectif.
Calendrier des diffusions (chaque fois à 14h30) :
07/10/2024
La Cystite (Jeanne Gougeau & Ophélie Bouffil) 1
14/10/2024
La Cystite (Jeanne Gougeau & Ophélie Bouffil) 2
21/10/2024
La Cystite (Jeanne Gougeau & Ophélie Bouffil) 3
28/10/2024
La Cystite (Jeanne Gougeau & Ophélie Bouffil) 4
04/11/2024
La Cystite (Jeanne Gougeau & Ophélie Bouffil) 5
11/11/2024
La Cystite (Jeanne Gougeau & Ophélie Bouffil) 6
Episode 1 : Au feu !
C‘est une histoire qui commence il y a 4 ans par une discussion entre les narratrices, Ophélie Bouffil et Jeanne Nabulsi. Toutes deux se rendent compte qu’elles ont des cystites régulièrement et commencent à en parler – tout le temps. Les bouches se délient, les mains s’ouvrent, les récits sortent et résonnent. Combien d’ami·es, de cousin·es et de voisin·es font face à ces cystites récidivantes qui semblent revenir sans jamais réellement être soignées ? Elles décident alors d’organiser des ateliers de Cystité·es pour en parler. Une brèche s’ouvre…
L’épisode en chiffres
50 % des femmes* ont au moins une cystite dans leur vie.
30 % d’entre elles feront au moins une récidive.
On aimerait bien avoir des chiffres sur le nombre de cystité·es aussi mais, tiens tiens… on n’en trouve pas.
Cet épisode s’accompagne d’un lexique, d’une Foire aux questions et de ressources complémentaires : continuez à scroller !
Avec, par ordre d’apparition :
Les Cystité·es, anonymes mais expert·es de leur vécu. Charline Marbaix, médecine généraliste et formatrice en promotion de la santé avec l’asbl PromosanteMG. Elle s’engage actuellement, à l’intersection des sciences sociales et médicales, pour une meilleure intégration de la dimension de genre dans les relations entre soignant·e·s et patient·e·s.
Dans les coulisses :
Réalisation : collectif Les Microsondes (Ophélie Bouffil et Jeanne Nabulsi) avec les participant·es aux ateliers “Cystite et Podcast”. Prise de son & écriture : Les Microsondes. Montage : Thibaud Rie et Les Microsondes. Sound design : Thibaud Rie. Mixage : Roxane Brunet. Musique : Chanteurs/euses : Aurore Latour, Thelma Cassé, Jeanne Vancoppenolle, Manon Scuttenaire, Caïus Ndikumana, Ophélie Friberg et Olivier Mahiant. Sous la direction de : Ophélie Friberg et Olivier Mahiant, artistes, animatrice et animateur de circle singing (technique de chant improvisé). Ingénieur son : Pierre-Nicolas Blandin. Illustration :Marie Aynaud, artiste colleuse. Typographie et graphisme :Florian Mahieu. Avec le soutien du Fonds d’aide à la création radiophonique (FACR) de la Fédération Wallonie-Bruxelles et d’Un Futur pour la Culture et en partenariat avec l’ASBL waka-up !
“Cystite Partout,” est une production d’axelle magazine/Vie Féminine (regard éditorial : Sabine Panet), en coproduction avec Les Terres Arables, réalisée avec le soutien du FACR et de Un Futur Pour la Culture (Fédération Wallonie-Bruxelles).
Remerciements très particuliers à : Sève, Flavien, Véronique Lemaire, Lorraine, Alexandre, Lucien, Mathilde pour leurs oreilles, leur soutien et leurs conseils. Merci à Tom Wise et son Gardening Studio pour les urgences voix de dernière minute, Mel et Emma de l’asbl Waka-Up pour leur soutien précieux dans l’organisation des ateliers. Merci aux artistes qui ont mené des activités lors des ateliers Cystite et Podcasts : Leïla Chaarani, Mélia de Huez, Jeanne Garbasi, Valérie Maione. Et merci à l’asbl Toestand et le Mona pour leur accueil.
Je suis Lucile, artiste et musicienne. J’ai entrepris, par cette série d’entretiens d’aller à la rencontre d’autres musiciennes, de toutes esthétiques musicales confondues. J’étais très curieuse d’entendre et de faire entendre leurs parcours, leur processus créatif et comment elles évoluent professionnellement en tant que femmes musiciennes.
Soutiens:
La série de podcast Paroles de musiciennes est un podcast produit par Lucile Beauvais et l’association Elles en ont !
Le projet est soutenu par la Fédération Wallonie Bruxelles dans la cadre de la bourse Un futur pour la culture et est accompagné par l’asbl FACIR (Fédérations des Auteur·rices, Compositeur·rices et Interprètes Réuni.es), dont l’une des missions est d’encourager un secteur musical plus inclusif.
Crédits:
Réalisation, montage, mixage, voix off et habillage sonore : Lucile Beauvais
Identité visuelle : Stéphanie Cornil
Note d’intention:
Le départ de ce projet est le constat d’un déséquilibre important dans la représentation des hommes et des femmes dans le secteur musical. On trouve en effet moins de femmes sur scène, dans les métiers techniques, d’accompagnement ou occupant des postes à haute responsabilité.
Étant moi-même musicienne, je vis cette difficulté sur le terrain. Être une artiste féminine aujourd’hui relève d’un engagement social et politique, dans la mesure où cette ambition s’inscrit dans une lutte vers un meilleur équilibre de la représentation des genres.
Au fil de mon parcours, j’ai constaté que les musiciennes avaient une parole à partager, leur précieuse expérience à transmettre. Un don pour les générations actuelles et futures, pour que fleurissent des modèles féminins positifs, références nécessaires pour donner confiance à de jeunes artistes en développement.
Pour cela, j’ai entrepris un travail de recherche visant à aller à la rencontre de femmes musiciennes pour saisir leurs témoignages et visibiliser un matrimoine musical.
Historiquement, l’art de la rhétorique était un privilège masculin. L’expression orale dans l’espace public fut par conséquent une qualité culturellement attribuée à l’homme, symbolisant virilité et pouvoir.
Donner à entendre la parole des femmes me semble aujourd’hui une initiative à encourager, afin que celles-ci retrouvent leur place dans l’espace public, et pour qu’elles prennent pleinement part aux débats d’idées en tant qu’artistes et citoyennes.
Par ailleurs, il est triste de constater que l’Histoire a évincé de nombreuses artistes, que certaines personnes tentent aujourd’hui de tirer de l’oubli. Mon projet s’inscrit donc dans cette volonté de réhabiliter et d’enrichir un matrimoine qui serait vivant et pérenne.
Planning des diffusions
Date
Heure
Nom
07/10/2024
15h
Paroles de musiciennes (Lucile Beauvais) 1 : Clemix
14/10/2024
15h
Paroles de musiciennes (Lucile Beauvais) 2 : Cécile Gonay
21/10/2024
15h
Paroles de musiciennes (Lucile Beauvais) 3 : Renata Kambarova
28/10/2024
15h
Paroles de musiciennes (Lucile Beauvais) 4 : Aurélie Poppins
04/11/2024
15h
Paroles de musiciennes (Lucile Beauvais) 5 : Géraldine Cozier
09/12/2024
15h
Paroles de musiciennes (Lucile Beauvais) 6 : Grażyna Bienkowski
« Suite au décès d’un chef d’entreprise, son entourage découvre que sa société de conditionnement alimentaire est au bord de la faillite. Pour la sauver, sa fille aînée décide d’en reprendre la tête, poussant ses employés à des rendements intenables sous couvert de méthodes managériales plus humaines. Après le suicide d’une ouvrière, la fille lègue aux salariés la totalité de ses actions. L’entreprise devient alors une coopérative en mal de capitaux, obligée de se tourner vers des pratiques illicites pour faire face. »
Texte de Laurent Plumhans.
À la réalisation: Emilie Maréchal
Avec les voix de Mariana Blancmoya, Pedro Cabanas, Yannick De Coster, Jo Deseure, Nicolas Luçon, Émilie Maréchal, Catherine Mestoussis, François Prodhomme, Nathanaëlle vandersmissen.
Musique originale et montage: Luc Bersier
Prise de son: Eliot Ratinaud
Scripte: Mariana Blancmoya
Renfort scripte: Lia Dubac
Mixage: Aurélien Lebourg
Bruitage: Fanny Roy
Prise de son bruitage: Joachim Glaude
Parrainage: Christophe Rault
Une production de la compagnie Droit dans le mur, avec l’accompagnement de l’atelier de création sonore radiophonique et le soutien du Théâtre National, du fond d’aide à la création radiophonique et du Fond Gulliver – un appel à la création radiophonique soutenu par la RTBF, la SACD/SCAM France & Belgique et la Promotion des Lettres de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Merci à Carmelo Ianuzzo et Bastien Hidalgo Ruiz de l’ACSR Illustration : Sylvain Descazot
Le projet RenoCampus permettra la rénovation des bâtiments BC (campus de la Plaine) et H (campus du Solbosch), ainsi que de la chaufferie centrale et le réseau de chaleur du Solbosch. Grâce à ces travaux, l’ULB économisera chaque année l’équivalent de la consommation d’électricité et de gaz de 270 ménages, lui permettant ainsi d’accélérer la réalisation de son plan climat. Invité : Michel Huart, maitre de conférence en faculté des siences et polytechnique à l’ULB et coordinateur efficience énergétique auprès du Département infrastructure de l’université.
Dans les ruelles tranquilles d’un petit village, une colonie d’animaux sauvages coexiste depuis des générations avec les villageois·es. Lorsque une pétition anonyme surgit pour bannir ces créatures de leur habitat, les tensions montent et réveillent de vieilles querelles.
Crédits
Production : Comme un Lundi asbl. Réalisation : Nastassja Rico et Noé Béal. Montage : Roxanne Brunet. Mixage : Bastien Hidalgo Ruiz. Musique : Nola Sound (Virgile Guillaud et Simon Djurado). Graphisme : Dali la Grasse. Accompagné.es par l’Atelier de Création Sonore et Radiophonique (acsr). Soutenu.es par la Fédération Wallonie-Bruxelles et le Fonds d’Aide à la Création Sonore Radiophonique (FACR).
Note sur la démarche des auteur·rices
À travers l’histoire de Sainte-Marie-sur-Ouche et de ses oies, les réalisateur.ices explorent les dynamiques invisibles d’un village et les tensions sous-jacentes qui le divisent. Derrière un fait divers, à première vue trivial, se cachent des enjeux bien plus complexes.
Les réalisateur.ices s’interrogent sur la manière de rendre compte d’un territoire, non seulement à travers son histoire, mais aussi à travers les relations humaines qu’il façonne. Comment capter l’identité d’un lieu, faite de coutumes partagées, d’anciennes rivalités et de souvenirs collectifs ? Iels cherchent à rendre compte de la subtilité des non-dits, des conflits intergénérationnels et de la manière dont une petite communauté négocie son rapport au changement. Au-delà de la simple coexistence entre villageois.es, cette série explore le territoire comme le reflet d’identités multiples et de luttes silencieuses.
Les réalisateur.ices abordent également le phénomène de la désertification des villages et ses conséquences sur la vie sociale. En mettant en lumière la fermeture progressive des commerces et des lieux de rencontre, iels soulignent l’importance de ces espaces comme vecteurs d’échanges et de discussions au sein des communautés rurales. Iels montrent comment l’érosion des lieux de rencontre contribue à fragiliser le tissu social et à isoler les individus face à la fermeture de ces endroits essentiels à la vie collective.
Issus du secteur de l’éducation permanente, les réalisateur.ices placent l’accessibilité et la libération de la parole au cœur de leur démarche. En choisissant un format de série à épisodes courts, iels s’inscrivent dans une approche inclusive qui permet d’étendre l’écoute à un public large et diversifié.