LA TRANSE comme outil thérapeutique > Corine Sombrun, ethnomusicienne, écrivaine et spécialiste du chamanisme mongol qui a été formée à la transe par des chamanes de Mongolie collabore avec des scientifiques de l’ULiège pour étudier les bienfaits de la transe cognitive sur les patients en oncologie.
Couleur chair Un cadavre bien maquillé > Un documentaire sonore de Georges Morère 2011 sur Arte Radio. Faut-il embellir les morts ?
Camille – Seeds
ITW Marine Pascal, réalisatrice du court métrage documentaire SOIN sur un embaumement. Le film est visible dans le cadre du festival Millénium (en ligne) à partir du 19 mai
Molly Nilsson – I hope you die
réalisateur Alain Cavalier – série de courts métrages « portraits de femmes » pour archiver le travail manuel féminin
Marjan Farsad – Khooneye Ma
Katrine Ottonsen – Eye of the tiger
mecredi 12 mai sur la Une 20h30 (puis sur Auvio) > documentaire #salepute de Florence Hainaut et Myriam Leroy pour comprendre les ressorts et les effets de la haine et des violences en ligne.
Au revoir Simone – A violent yes flammable world
Juliette armanet – Cavalier seule
The chanteuse – Rolland Garros
PODCAST de Mathieu Rivière LE SPORT C’EST BIEN sur l’histoire des jeux olympiques – édition 1924 Paris
16 mai : 16h00 Unique en son genre : lecture d’histoires par deux drag-queens, Edna et Cléo
16 mai: 20h00 – rencontre Attention, hautement inflammable ! Adeline Dieudonné et Victoire Tuaillon
Priestess – Maria Antonietta
Shirley Basset – The girl from tiger bay
Adrienne Pauly – La fille au prisunic
ITW Marc Jottard du CVB pour présenter la nouvelle plateforme transmedia nosfuturs.net: site de créations documentaires et transmédia pour mieux comprendre les mondes qui viennent. thématique 1: le travail
Les parisiennes – Il fait trop beau pour travailler
Acte médical aux implications sociales, psychologiques et émotionnelles multiples, l’avortement constitue un enjeu socio-politique à part entière. L’accès au droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) fait l’objet de tensions, d’oppositions et de conflits entre acteurs ou courants d’idées aux positions parfois extrêmement antagoniques.
Invitée : Bérangère Marques-Pereira, chercheuse au centre de recherche METICES (Migrations, Espaces, Travail, Institutions, Citoyenneté, Epistémologie, Santé), Faculté de Philosophie et Sciences sociales.
Comme un appel à la liberté, ce documentaire met en lumière la réalité meurtrière des centres fermés et la nécessité d’y mettre un terme.
Synopsis :
Vivre sans papiers, c’est toujours risquer d’être arrêté·e, enfermé·e, expulsé·e du territoire où l’on cherche l’hospitalité. Trois personnes désignées comme « illégales » à un moment de leur parcours témoignent de leur vie emmurée par l’Europe.
Souhail, Rabia et Mado racontent la violence des politiques migratoires belges. L’un, depuis l’intérieur du centre fermé, évoque les violences physiques et psychologiques. L’autre, depuis l’extérieur, relate l’angoisse du risque quotidien de l’arrestation. Et la dernière, suite à sa « libération », raconte la peur, la colère et l’espoir. Comme un appel à la liberté, À leurs corps défendant met en lumière la réalité meurtrière des centres fermés et la nécessité d’y mettre un terme.
__________
Réalisation, prise de son et montage : Pauline Fonsny et Anaïs Carton Création sonore : Alice Peret et Cyril Mossé Mixage : Maxime Thomas Musique de fin : Jil Jilala et Nass El Ghiwane Dessin : Christophe Poot Graphisme : Clément Hostein (GSARA)
Production : Centre Bruxellois d’Action Interculturelle & Contre-ciels asbl, avec le soutien du Fonds d’Aide à la Création Radiophonique, de l’Atelier de Création Sonore et Radiophonique, de l’Atelier Graphoui, du GSARA, de Zin TV et de Radio Panik
Un documentaire audio de Sébastien Godret et Benjamin Bibas, mis en son par Sébastien Lecordier.
Réalisé dans le cadre de l’exposition « Kinshasa Chroniques » au Musée international des arts modestes de Sète (24 octobre 2018 – 10 mars 2019), ce documentaire raconte comment à Kinshasa, des artistes congolais dialoguent avec leurs concitoyens et avec le reste du monde pour élever leur pays et tenter de créer un avenir meilleur.
Avec un concert de Lady Aïsha, un slam de MicroMéga, un slam d’Orakle, une chanson originale de Strombo et la sonorité créée au printemps 2018 par les habitants de Kinshasa.
Remerciements chaleureux à Eric Androa Mindre Kolo, Rek Kandol Mukenge, Maître Shula, Charles Tumba Tiecko, ainsi qu’à tous les artistes, professeurs et critiques d’art qui nous ont prêté leur voix à Kinshasa et à Paris au printemps 2018.
Coproduction : Musée international des arts modestes / Cité de l’architecture et du patrimoine / la fabrique documentaire, octobre 2018
[Image : Avenue Luvua, commune de Lingwala, Kinshasa, avril 2018 – photographie Sébastien Godret]