Posté le 18 décembre 2019 à 14 h 49 min
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Cafesolidaire Boondael
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On a écouté…
La Jungle : Technically You’re Dead < II
Awa keme kemo
Why the Eye ? : Dombo
Baby Fire : Mother < The Red Robe
Cartouche : Encore un verre < À corps perdu
Augustin Bette / Basile Naudet : #1 < Histoire manquante
Forguette Mi Note : Totale Scheiße < Cruciforme
Koopa Querales : Welcome to the Joyce (Walk on By)
Wire : 12xu < Turns and Strokes
Synesthésie : Performance au Non Lieu à Roubaix (extrait)
Hiatus : Have a Free Life
MatraK AttaKK : MatraK AttaKK
René Binamé : De Noordzee Blues < Noël et cætera
Rraouhhh ! : Aragne (extrait) < Relax…
Ultraphallus : Madrigal Lane
?Alos : Luce / Tenebre < Matrice
Mr Marcaille : It’s a Lie < One Human Bomb
Pneumatic Head Compressor : Arty-Shock Heart < From Freddy to Lemmy
Guili Guili Goulag : Armada dépenaillée de gibbons cendrés < Saint-Arnoult 3018
Posté le 18 décembre 2019 à 12 h 40 min
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Nos deux invités font partie de l’équipe dirigée par Pierre Vanderhaeghen (IRIBHM) qui a publié récemment dans le journal scientifique Neuron une recherche épatante.
Ils ont confirmé que, dans le cerveau humain, le développement des neurones humains est particulièrement long : les circuits neuronaux humains mettent des années à atteindre la maturité, contre quelques semaines seulement chez la souris et quelques mois chez le singe.
Pour ce faire, ils ont mis au point un nouveau « modèle de développement », un modèle biologique. Ils sont parvenus à greffer des neurones individuels humains dans des cerveaux de souris et à suivre leur développement au fil du temps, ce qui permet de les étudier en situation physiologique! C’est bien plus intéressant que dans des fioles ou des boîtes de Pétri. Les cellules greffées s’y développent de la même manière que dans un cerveau humain, avec une période de maturation de plusieurs mois, caractéristique des neurones humains.
Cela signifie que le développement de nos neurones pourrait suivre une « horloge interne » indépendante de leur environnement.
Le modèle ainsi mis au point vient donc d’être validé ; il ouvre de nouvelles perspectives pour le traitement des lésions et l’étude des maladies du cerveau.
Invités : Baptiste LIBÉ-PHILIPPOT et Leila BOUBACAR sont chercheurs post doc au labo de Pierrre Vanderhaeghen (ULB).