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La radio de la communauté de l'Université Libre de Bruxelles

Archive for mars, 2019

Midi Express – 25/03/2018

Au programme de ce midi :

– Le ciné-club « Passeurs d’images » avec Georges Boschloos
Le 26 mars à 19h30, le film « Stalingrad » sera projeté au cinéma Aventure.
https://www.auschwitz.be/fr/activites/cine-club-passeurs-d-images
– Le Festival du Film Scientifique de Bruxelles du 25/03 au 31/03 sur le campus du Solbosch de l’ULB : Juliette et Lolita du cercle des Sciences viennent nous en parler.
http://www.ffsbxl.be/
https://www.facebook.com/events/310993293104767/
– Le Festival du Théâtre Ouvert de Bruxelles : la dernière semaine du 25/03 au 29/03
Elena et David du cercle OPAC viennent nous en parler
https://www.facebook.com/events/879847925519133/

Voici la playlist :

Andrew Bird – Sisyphus
(Handelsbeurs 17/06)
Apparat – Dawan
(Ancienne Belgique 28/04)
Strand Of Oaks – Hyperspace Blues
(Trix 26/05)
Foals – Moonlight
(Ancienne Belgique 12/05)
E.B. the Younger – Used to Be
(Botanique 13/04)
Karen O & Danger Mouse – Ministry
Pond – Sixteen Days
(Pukkelpop 17/08)
Royal Trux – Year Of The Dog
Robert Forster – I’m Gonna Tell It

 

Création radiophonique – 25/03/2019 – 15h – Les Mots du 22 Mars – Richard Kalisz et Sam Touzani

LES MOTS DU 22 MARS (d’après les mots de l’ordinateur des terroristes dans la poubelle de la rue Max Roos)

Une réalisation de Richard Kalisz et Sam Touzani.

Radio – Vérité

Le 22 mars 2016, deux attentats terroristes d’envergure ont frappé Bruxelles, l’un à l’aéroport de Zaventem, l’autre dans le métro, à proximité du quartier des Communautés Européennes. Six hommes en ont été les acteurs, dont un commanditaire. Ceux-ci sont maintenant connus car nous possédons leurs identités. D’autant plus, que deux d’entre eux ont renoncé en dernière minute. Ces événements meurtriers – 34 morts et 340 blessés – s’inscrivent dans une chaîne internationale de villes, surtout occidentales. Se réclamant de « Daesh », les protagonistes, ayant souvent un passé proche de la délinquance (mais pas seulement), ont une motivation religieuse de rédemption. Il est énoncé qu’on nous fait la guerre au nom d’un islamisme politique.

C’est une guerre de l’ombre.

Nous avons donc à saisir à bras le corps, et de manière la plus lucide possible, la plus exacte possible, ce qui, actuellement, se produit sous nos yeux et nous traverse le corps. Sans sentimentalisme , sans périphrase inutile. Il y va de notre lucidité et de notre vie. Bien entendu, plusieurs angles de vue, permettent d’aborder la question. On peut lire, à part égale, dans nos journaux quotidiens, tantôt des points de vue issus de la sociologie de l’excuse, tantôt du point de vue du facteur religieux dominant. Ici nous choisissons de mettre en lumière le factuel dans la relation des préparatifs clandestins du massacre annoncé. C’est une tragédie qui se met en place, s’accélérant à cause d’une certaine précipitation, car ces hommes traqués, sentent qu’ils sont, ce jour – là, à bout de souffle. Alors, nous vivons la préparation du forfait, avec eux, minute par minute, en état d’urgence.

Au cours du déroulement de ce factuel, l’invocation proche du salafisme et des « Frères Musulmans », prend progressivement le dessus.

Les écoutes téléphoniques, et surtout leur ordinateur, retrouvé dans une poubelle, nous en fournissent, et la trame et les mots précis échangés : le verbe avant de passer à l’acte. Car tout acte commence par la parole, comme l’a énoncé la Bible. Ces phrases et leurs enchaînements (presque inéluctables, n’ayant pas été déjoués à temps), ont été très récemment, mises à jour et révélées, par deux compte -rendus du journal Le Monde, qui, souvent, fait plutôt bien son travail. Ce déroulement restitué, nous enferme dans un huis-clos mortifère. Il nous terrifie et il n’est nul besoin de littérature car, cette épure, jusque dans la banalité des mots de tous les jours, donne froid aux oreilles, nous invitant à réfléchir afin que la vie, nos vies, soient les plus fortes.

Nombreux sont ces protagonistes, qui sont des délinquants : comme autrefois les S.A. des années trente, agissant avec un habillage idéologique qui les légitime, s’offrant une rédemption et une foi low-cost à eux-mêmes et aux yeux des « frères ».

S’engouffrant dans notre désarroi, qui s’ouvre béant sous nos pas, nous entendons l’expression de groupes et de solitaires, œuvrant dans le secret des réseaux cryptés. Cette clandestinité (même quelque peu réalisée en amateurs), se situe dans des chambres, tous rideaux tirés, et qui, ici, se restitue par la vérité sèche du réel.

Aristote signifiait que la TRAGEDIE agit par la terreur. Obligatoirement, elle doit nous terrifier afin de nous obliger à la surmonter, sans moralisme journalistique ou sociologique, sans périphrase, mais en nous la faisant vivre au plus près des protagonistes. Pour qu’à l’aube, nous puissions affronter le jour, en toute connaissance de ce qui nous menace, et pour nous mettre debout sur nos pieds, notre cœur n’ayant pas cessé de battre et ne cessant plus de battre.

Cette œuvre, comme l’aurait voulu Aristote, doit nous réveiller comme le son du Shofar .

Œdipe se crève les yeux pour y voir clair, mais nous, ne nous bouchons pas les oreilles.

Sans image, car leurs visages, nous empêcheraient d’entendre.

Cinq hommes reclus dans une planque, (en lien avec un commanditaire) préparent, minute par minute, l’attentat du lendemain, tout près de nos oreilles. Mais ceci pourrait se passer ailleurs aussi. Si les services de renseignements ne peuvent les prendre de vitesse.

Ils font partie d’un réseau. Une de ses cellules temporaires. Parfois dormantes, parfois éveillées. Parfois passant à l’offensive.

Cachés aux étages, au-dessus de nos plafonds, juste à côté, ou en dessous, les voici infiltrés pour le pire. Les femmes y sont absentes, seule la figure de la mère est invoquée. Certains hésitants, sont rappelés à l’ordre. Mais le rêve fanatique et symbolique reprend le dessus.

La parole pour « tuer le jour jusqu’à demain « disent-ils, textuellement, ainsi que pour « aimer la mort ».

Avec les collaboration De Bernard Delpierre ( montage) et les interprétations de Philippe Jeusette, Gaétan Lejeune, Marcel Delval, Pierre Dherte, Franky Michot , Fabian Dorsimont.

Production : Théâtre Jacques Gueux – Les Temps d’Art.

Etre, Venir, Aller, un documentaire de Caroline Berliner – lun 25/03/19 @ 16h et rediffusé ce jeudi à minuit

ETRE, VENIR, ALLER

Bruxelles, canal de la Senne.

Mazina, Marnélice, Rahman et Ghasem, quatre adolescent.e.s, patientent derrière les murs d’une ancienne caserne militaire, leur Petit Château.
Né.e.s ailleurs, ils attendent de savoir si leur avenir se dessine en Belgique ou hors de ses frontières.

C’est le temps de leurs 18 ans.

Dans ce lieu de transit qui les accueille alors qu’on décide de leur statut, ils cherchent leurs mots pour se raconter.

Avec Mazina Dziengué, Rhaman Tajik, Marnélice Ndogo, Ghasem Moussavi, Et Heïdi Marcoen, Nathalie Leroy, Carlos Amegbedji, Céline Heggen, Francesca Marzano, Morgane Vincart, Catherine Nicaisse et Laurence André.
Prise de son et montage : Jeanne Debarsy
Prise de son additionnelle : Corinne Dubien, Youssouf Fane et l’équipe de Radio Passe Partout Montage, mise en onde et mixage: Christophe Rault
Visuel: Martial Prévert
Réalisation : Caroline Berliner

Ce projet est dédié à Amir Abdelouahed.

Merci à Isabelle Plumat et à la direction de Fedasil à Jessica Decoster et à toute l’équipe du CADE à Nathalie Leroy et aux enseignantes du Campus Saint-Jean à Leslie Doumerc, Guillaume Abgrall, Jean-Yves Mangnay, Arthur Lacomme et à toute l’équipe de Radio Panik. à Dirk Van Geystelen et à Claire Terlinden. à Carmelo Iannuzzo, Clémentine Delahaut, Bastien Hidalgo Ruiz et Camille Valençon à Antoine Laubin, Emmanuel Marre, Félix Blume, Lise Wittamer, Sabrina Calmels, Clara Guemas et à toute celles et ceux qui ont croisé ma route lors de la réalisation de ce documentaire

Production : Le Bruit et la fureur asbl, avec le soutien du Fonds d’aide à la création radiophonique de la Fédération Wallonie-Bruxelles, du Fonds d’impulsion à la politique des immigrés de la Cocof et de l’ACSR

Pourquoi être terre à terre alors qu’on peut surfer sur les ondes #5 SPECIAL WAVE — 16/03/2019

spécail Wave!!! mais qu’est-ce que c’est (en belgique) ?

 

Tracklist

1
serotonin records
loops
2
Planetary
Metamorphic records
3
Metaphor
Kenny Larkin
4
Bubbles (musicology outlook)
B12
5
Prototype
Dan Curtin
6
Piano (the return joe lewis)
Joe Lewis
7
seretonin records
loops
8
Black Sea (Aqualung version)
Drexciya
9
The Final Frontier
Underground Resistance
10
Research And Development
Sebastian S
11
Element of life
The Adven
12
Space
Dan curtin
13
title
Pureyords of fine funk
14
title2
Pureyords of fine funk
15
Come of age
St vitus dance
16
New world ep
Dan Curin
17
17D
B12
18
Quadrilocular
Morgan Geist
19
anoriry
Evoo grps
20
metamorphic records
titonton
21
peacefrog06
Pureyords of fine funk
22
new electronica
Kirk de giorgio

Alexandre intervievvve – n°20 – 22/03/2019 – 8h30 – ACCOUCHE ! EXPO À L’ULB (II)

De nombreuses recherches visent à soutenir le désir d’enfant, à mener des grossesses autrefois impossibles, à terme. L’ULB y a bien contribué. On fait le point avec notre invitée, spécialiste de procréation assistée et d’endocrinologie.

Invitée : Anne DELBAERE, gynécologue, spécialiste de procréation assistée et d’endocrinologie, prof ULB, chef de clinique de la clinique de fertilité à Érasme et co-commissaire de l’exposition.

Lysergic Factory – 19/03/2019

1.james heather-“blue print”(chihei hatekeyame rmx)
2.rev magnetic-“sunny windy winter morning(rainbows spanning the valley)”
3.Leon vynehall-“who loved before”
4.the caretaker-“loss of want back there”
5.pablo s eye-“worship&passion”
6.visible cloaks-“wind voice”
7.stubbleman-“great river road”
8.jean marc lederman experience-“triskaidekaphobia”
9.james holden-« srey pov s theme(end credits)(from a cambodian spring soundtrack)
10.elegia-“2008(a death odyssey)”
11.karen o&dangermouse-“reveries”
12.ingus bauskenieks-“19.10.89”
13.unloved-“boy and girl”
14.pye corner audio-“imprisoned splendor”
15.towns van zandt-“all I need”
16.foals-“i m done with the world(&it s done with me)
17.kate bush-“nna na he ir eann”
18.mediane-“BR.217”
19.bibio-“curls”
20.steve spacek-“plain site”
21.weval-“who s running who?”
22.the cinematic orchestra-“to believe”
23.toy-“you make me forget myself”
24.fred und luna-“dolcefarniente”
25.subjective-“temple”
26.ultramarine-“spark from flint to clay” feat.anna domino
27.domenique Dumont-“comme ca”
28.samy Birnbach-“shmor alatzmecha”
29.teeth of the sea-“i d rather jack”
30. Fat white family-“feet”
31.international teachers of pop-“oh Yosemite”
32.pond-“daisy”
33.anderson paak-“anywhere”feat. Snoop dogg&the last artful dodgr
34.charlotte adigery-“bbc”
35.anchorsong-“mindscape”
36.zenobia-“ksr ksr ksr”
37.fabrizio marmarella-“diavoli”
38.the claypool lennon delirium-“toady man s hour”
39.snapped ankles-“rechargeable”
40.fumaca preta-“pepas de colores”
41.michael rother-“groove 139”(live 2018)
42.boy harsher-“save me”
43.sneaks-“holy cow never saw a girl like her”
44.sleaford mods-“big burt”
45.lingua franca-i-“the frump jump”
46.logotipo –“teoria del contacto”
47.der modern man-“blaue matrosen”
48.mono band-“ghost town”(vocal version)
49.head technician(aka pye corner audio)-“demolition”

Midi Express mercredi 20/03/2019

Festival « En roue libre »

Festival anticarcéral

On a écouté…

Shadow Biosphere : Parallel Evolution < Parallel Evolution

Chevalier Avant Garde : Haircut

Spaceheads : Pedalling Power < Angel Station

Stakattak : Glued Meat < Glued Meat

Bad Breeding : Psychic Copper < Abandonment

Les Georges Leningrad : Ennio Morrricone < Sangue puro

Dani Cosmic : C’est l’histoire d’une pute

Bengal : Every Time < face A

Vital Idles : Careful Extracts < EP

Irena Nikolic : Balkan

Eleonora Bordonaro : La tassa di li schetti < Cuttuni e lamé

Kaito Winse au Festival des Arts Griotiques (Parakou)

Cathedral : Ride

Bear Bones, Lay Low : Persona < El Telonero

The Left Arm of Buddha : Arabian Twist < An Awesome Kind of Rhythm

André Curieux : Ploc & Strie (extrait)

Material : Chaos Nerver Died (extrait)

Rien Virgule : Trafic de masques < Trente jours à grande échelle

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