La radio de la communauté de l'Université Libre de Bruxelles
Archive for avril, 2018
Posté le 10 avril 2018 à 13 h 42 min
· Rangé dans: Festival, Interview
Alexia Goryn, une des voix intervieweuse du midi express du mardi sur nos ondes est actuellement au Bénin. Du 6 au 8 avril a eu lieu à Parakou le Festival des Arts Griotiques. En collaboration avec Sanni KORA BAGUIRI, journaliste chez Deeman Radio, de courts reportages sonores ont été réalisés afin de rendre compte des événements du festival mais aussi de la culture Baatonu.
voici celles qui ont été diffusés ce mardi 10 avril 2018 a partir de 13h30
2e édition du FAG, les festivaliers découvrent le rôle du griot
2e édition du FAG: les griots reçus à la cour impériale de Nikki
Orchestre kabyéssi de Parakou : la femme au cœur de la musique…
Posté le 10 avril 2018 à 13 h 35 min
· Rangé dans: Interview, Playlists
soutien aux expulsés de Notre dame des landes
>>> appel indymedia : https://bxl.indymedia.org/spip.php?article18296
Les Vilars – Les anarchisets
Stika – Déterminées
Rock’in Squat – instoppable
ZAD – La rose est morte
RDV a haren/Keelbeek ce samedi 14/04 – https://bxl.indymedia.org/spip.php?article18102&lang=fr
Collectif Mary Read – Sous la lune noire
C comme Composition – Abécédaire sur la ZAD de notre dame des landes (slam live)
Duval MC – Bla-bla Durable
El templo del Tigre feat El gaouli – Toujorus les mêmes
Stika – Au nom de la sécurité
Compte rendu de la Reclaims the night >>> https://bxl.indymedia.org/spip.php?article18146&lang=fr
3 Bouts de ficelles (atlier écriture à la zad) – Le petit chien
Skalpel – Luttez ! résistez! Organisez vous !
Soirée rap a la cheminé Samedi 14 Avril !
RP
100 crew – Un air de guitare
Young M.A – Ooouuu (YA$KA remix)
선잠 Seonjam – Nap
Rencontre Avec Minor de Toujoursieme, interview mené par Juliette Framorando
Toujoursieme Records is a South Korean music label. Currently, six musicians from South Korea, Belgium, France, and the Netherlands are on the label.
Plus d’info ici :
https://www.facebook.com/pg/ToujoursiemeRecords
https://www.youtube.com/channel/UC8pslz2y7E_EzlnhAyNipug
NAI – 0101
GOBUK2 – Hello, We are the coolest turtles
Proejction des garçons sauvage au cinéma nova ce samedi a 19h
H-tone – Bousille le
Bérurier Noir – Macadam Massacre
Diffusions des capsultes réalisé apr Alexia Goryn au festival des arts griotiques (Bénin)
réécoutable ici :
2e édition du FAG, les festivaliers découvrent le rôle du griot
Orchestre kabyéssi de Parakou : la femme au cœur de la musique…
2e édition du FAG: les griots reçus à la cour impériale de Nikki
Posté le 9 avril 2018 à 13 h 36 min
· Rangé dans: Actualités des Emissions, Festival, Film, Jazz, Playlists
Martin Salemi Trio – Early Morning
(Théâtre Marni 26/04)
Martin Salemi Trio – Lennie’s Pennies
Martin Salemi Trio – Julia
Forest Swords – Arms Out
Fickle Friends – Could Be Wrong
(Botanique 13/04)
Chromatics – Nite
Black Rebel Motorcycle Club – Spook
Nabihah Iqbal – Eden Piece
Mark Eitzel – The Last Ten Years
Big Brave – Sound
(Botanique 12/04)
Quelques suggestions de films au BIFFF :
Le 09/04 à 20h30 : The Scythian
Le 10/04 à 18h30 : The Place
Le 11/04 à 22h30 : Ajin: Demi-Human
Le 12/04 à 20h30 : Shock Wave
Le 12/04 à 22h30 : Memoir of a Murderer
https://www.mixcloud.com/radiocampusbruxelles/midi-express-0904-martin-salemi-et-bifff-2018/
Posté le 9 avril 2018 à 11 h 36 min
· Rangé dans: Actualités des Emissions, Playlists
« on a beau dire ce qu’on voit, ce qu’on voit ne loge jamais dans ce qu’on dit, et on a beau faire voir, par des images (…) ce qu’on est entrain de dire, le lieu où elles resplendissent n’est pas celui que déploient les yeux, mais celui que définissent la succession de la syntaxe ».
– Michel Foucault, Les mots et les choses, Gallimard, 1966.
CREAM
« Ceci n’est pas un travail sur le Handicap ».
L’installation proposée par Laetitia Bica pour la BIP 2018 reprend une chorégraphie ontologique de deux mois. Commencée avec « la crème de la crème » artistique au sein des ateliers du Creahm (Créativité et Handicap Mental) de Liège, la performance s’est continuée ensuite lors d’une résidence au RAVI (Résidences Ateliers Vivegnis International) en compagnie de l’artiste-samouraï Samuel Cariaux, ainsi qu’au sein de l’atelier Bruno Robbe. Cette expérience hérite de plusieurs années de travail durant lesquelles la photographe a poursuivi son exploration de l’être-en-commun, des recouvrements et des agencements plastiques.
La notion de chorégraphie ontologique a été forgée en 2005 par l’anthropologue Charis Thompson pour décrire la manière dont les couples lesbiens négocient, par inclusion du donneur tiers, leur place en tant que « vrais parents » de leur enfant, sans fermer la possibilité d’une autre mise en récit. Elle a en suite été reprise par la philosophe Donna Haraway sur le plan conceptuel pour penser ce qui se joue dans les « zones de contact » entre les êtres vivants – humains ou non-humains –, en mettant l’accent sur la manière dont ces espaces de jeu métamorphosent, par « induction réciproque », le mode d’existence des êtres mis en relation. Durant cette performance, commente la philosophe Isabelle Stengers, « deux êtres autres font (…) l’expérience d’une co-présence inventive – expérience de co-préhension plutôt que de compréhension ».
La possibilité d’une telle co-présence inventive s’est vite posée comme enjeu important dans la collaboration entre les artistes. Chaque partenaire, en effet, a ses routines, ses habitudes, ses petites recettes qui lui permettent de fonctionner et de persister, de maintenir une continuité de trajectoire dans des milieux changeants, où chaque rencontre est occasion de bifurcation. Cependant, la répétition génère un excès infime sur ce qu’elle réitère. Il n’y a de reprise que « différante ».
C’est là que l’instauration du partenariat devient matière à risque. Il n’y a pas de jeu entre les partenaires tant que les petites différences réciproquement induites dans la collaboration n’ont pas atteint le seuil du remarquable, par quoi elles sont susceptibles d’être remises en jeu. Le danger, dans le cadre de chaque collaboration artistique, était de sauter l’épreuve d’apprentissage requis pour que ces nouveautés produites dans la répétition soient perceptibles. Il fallait donc éviter que la réussite du partenariat soit subordonnée aux formes conventionnelles de la « compréhension mutuelle ». Car la bonne raison communicationnelle, censée mettre tout le monde d’accord, devient alors l’occasion d’une prise de pouvoir qui ne dit pas son nom, où le gagnant est celui qui s’octroie le droit de rendre raison de l’activité de l’autre.
On ne sort de cette ornière dialectique qu’en invitant le tiers. « Un tiers survient, qui n’a aucun rapport aux êtres ou aux choses, mais qui n’a de rapport qu’à leur relation même », écrit Michel Serres. La raison communicationnelle repose sur la logique du tiers exclu, c’est-à-dire d’une mise hors-jeu de ce qui « instaure » la relation. L’autonomie et l’indépendance supposée des individus n’est d’ailleurs pensable qu’au prix d’une telle hypocrisie ; par quoi l’exclusion du tiers se tient elle-même sous le seuil critique du remarquable. Et comme le démontre l’argument platonicien du « troisième homme », la série des intercesseurs n’a pas de fin : l’inclusion du tiers sur la scène communicationnelle se fait par exclusion d’un autre tiers, dont l’inclusion en requiert un troisième, et ainsi de suite, à l’infini.
En impliquant la série exponentielle de ses dépendances, la chorégraphie ontologique témoigne pour la vie dans ce qu’elle a d’« asocialement inséparée ».
Jeffrey Tallane
Posté le 9 avril 2018 à 11 h 00 min
· Rangé dans: Actualités des Emissions, Playlists
« Le Jala’a de Sumegne » nous fait voyager dans l’univers de Francis Sumegne, artiste plasticien basé à Yaoundé au Cameroun.
Sumegne, aussi profond que malicieux, se positionne dans le monde de l’art contemporain avec un regard fondamentalement nègre et revigorant.
C’est avec une simplicité virtuose qu’il décortique pour nous des thèmes magistraux tels que le rapport entre art et spiritualité, l’école libre de la tradition et une définition de l’art.
Au gré de ses récits, d’œuvre en œuvre, il partage sa vision du monde avec l’ancrage de celui qui observe son environnement au quotidien et avec l’humour de celui qui s’amuse à voir l’humain gesticuler.
Un documentaire de Didier Tcheuileu Pounsi.
Montage Sébastien Demeffe:
Durée : 51’
Posté le 6 avril 2018 à 15 h 50 min
· Rangé dans: Actualités des Emissions, Information Générale
Peurs sur la Ville !
Villes et citoyenneté dans le cinéma fantastique et de science-fiction
A quelques mois des élections communales, la Ligue des Droits de l’Homme (LDH) organise une Masterclass sur l’image de la Ville dans le cinéma de genre, fantastique et de science-fiction. Le débat se déroulera à l’issue du film Survival Family, de Shinobu Yaguchi.
Intervenants : Yannick Hustache (PointCulture ULB), David Morelli (Ligue des Droits de l’Homme), et John Pitseys (chercheur en philosophie, CRISP). Le débat sera animé par Jean-Jacques Jespers (administrateur LDH), que du beau monde !
Beaucoup de films racontent la Ville. A travers elle, c’est la société et l’état du monde qui sont évoqués, voire incarnés. Car ces villes de cellulose ont souvent, comme un personnage, une personnalité et un mode de (dys)fonctionnement qui leur est propre.
De nombreux réalisateurs ont transposé les aspirations et les angoisses de leur époque ou de l’avenir dans des cités métaphoriques : Metropolis, Elyseum, Dark City, Sin City, New York 1997, … Le fossé vertigineux qui sépare l’utopie de Tomorrowland : cité harmonieuse, rationnelle et froide, et la dystopique Gotham : pervertie, anarchique mais tellement vivante, témoigne du large champ d’imaginaire et d’expériences que permet la figure de la Cité.
Que se passe-t-il lorsque, comme dans Survival Family, une ville (et la société toute entière), cesse de fonctionner après un black out généralisé? L’Etat de droit peut-il survivre dans ce contexte ? Plus globalement, que dit la Ville sur l’état de la démocratie et de la société? Et que se passe-t-il en dehors de ses murs ?
Avec la LDH, découvrez que la Ville se vit dans tous ses états.
https://www.mixcloud.com/radiocampusbruxelles/peurs-sur-la-ville-masterclass-ldh-au-bifff-2018/
Posté le 4 avril 2018 à 18 h 30 min
· Rangé dans: agenda, Playlists
LIBÉRONS LES SONS ! FESTIVAL MUSIQUE IMPROVISÉE
http://liberonslessons.blogspot.be/2018/02/liberons-les-sons-5-6-7-avril-2018.html
Titres diffusés
Hassan K : Chab < Bakhtak
Villejuif Underground : In the Beginning There Was Us < Heavy Black Matter
Jeffrey Lewis & The Jrams : Came Here Looking
Zoë Mc Pherson : String Figures 1 ~ Sabotage Story (unknot opening)
Baby Fire : Yellow Wallpaper < No Fear
Sugai Ken : Wochikaeri to Uzume < UkabazUmorezU
Yasuo Sugibayashi : Untitled (plage 5) (extrait) < The Mask of the Imperial
Terminal Cheesecake : Song for John Pt. 1 < Dandelion Sauce of the Ancients
Scorpion violente : Fugue de pute mineure < Uberschleiss
Jean-Jacques Duerinckx : Sax sopranino (sans titre) < compilation « Tempo al tempo »
Jean-Michel Van Schouwburg : The Glottal Allowance
Lab’OMFI : Part I (extrait) < 27°03°18
GV’s Junkband : Train of Thought
C_C : L’Indomptable
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