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La radio de la communauté de l'Université Libre de Bruxelles

Archive for mai 1, 2012

La conspiration littéraire…

avec ce mardi 1 et mercredi 2 mai :

présenté par Gwendoline Menassa :

GEORGES PICARD : journal ironique d’une rivalité amoureuse (José Corti)

présentés par E.G Eerebout :

RENE CREVEL : mon corps et moi (petite bibliothèque ombres n°168)

HENRIK IBSEN : Peer Gynt (GF Flammarion n°805)

XAVIER FORNERET : contes et récits (José Corti, collection romantique n°43)

et

notre pause musicale :

SCOTT WALKER : angels of ashes

Bonnes lectures !!

 

 

Campus Info mardi 1 mai 2012 par EG/Derek Sein

Les sangliers n’ennuient pas les hérons, mais aussi :

PATTY MOON : me and the moon

OVAL : love hour

GRAZIELLA DE MICHELE : le Noël de Kiki

AKIRA YAMAMICHI : pulse beats 2

D-STOP : vengeance demain

OPERA MULTI STEEL : messager monotone

MAMA ROSIN : prairie ronde

MELOTRON : Glühendes Spiel

BEATE S. LECH : vart du kjem

EISBRECHER : Kann denn Liebe sünde sein ?

QUARKS : Allein

LES ROMANESQUES : zoun-doko-bushi (Tous les citoyens !)

ROBERT : goutte de pluie

FARMACIA : nada de nada

NEW BUILD : schism of the mind

ANJALI : strawberry mousse

ARIELLE DOMBASLE : sometimes I eat spiders

SLIM WHITMAN : it’s a sin to tell a lie

HIS NAME IS ALIVE : reincarnation

ELÂKELÂISET : laakista humppa

WHITE DOOR : new jealousies

YOKO ONO & TRICKY : where do we go from here

et des bises et le reste……

 

 

 

 

 

Histoire de savoir / Sciences exactes du mardi 1er mai à 18h15

€  TCHERNOBYL, LE POINT

€ avec: Marc MOLITOR, journaliste RTBF, envoyé spécial à Tchernobyl auteur
du livre
« Tchernobyl, déni passé, menace future? » (Racines / RTBF éditions)

€ diffusions: mardi 1er mai de 18h15 à 19h & mercredi 2 mai de 09h à 09h45.

€ La catastrophe de Tchernobyl est sans doute le plus grand accident
industriel de l¹histoire. Ses conséquences vont durer des siècles. Il
s¹agit
d¹un écheveau de problèmes scientifiques, techniques, politiques,
sociologiques, économiques, sociaux, environnementaux et de santé publique
étroitement mêlés.
Quel est l¹état du site de la centrale ? Et de la zone interdite ? Combien
de matières radio-actives sont encore stockées sur place ? Combien de
morts parmi les 800 000 « liquidateurs » ? Combien de malades ? Et dans la
population ? Quelle est l¹étendue des terres contaminées ? Comment les
autorités des trois républiques concernées (Ukraine, Russie et Belarus)
gèrent (ou pas) les problèmes ? Comment l¹information a été ‹ et est ‹
faussée, escamotée sur les réels dégâts sanitaires ? Quel rôle (biaisé)
jouent les grandes instances internationales comme l¹AIEA, toutes liées à
l¹industrie nucléaire ? Quel est l¹impact sur les économies nationales
concernées ? Quelles retombées, minimes mais réelles, en Europe
occidentale ? Comment nos gouvernements ont-il réagi ? Il semble que la
nature même de ce type de catastrophe force aux mensonges, comme étant un
moindre malŠ