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La radio de la communauté de l'Université Libre de Bruxelles

Archive for septembre 15, 2010

Midi Express du mercredi 15 septembre

CAT POWER & KAREN ELSON: I love you
KERRI « KAOS 6.23 » CHANDLER: Coro (« Kaos 6.23 » dark mix)
IGGY POP: Spanish coast
THE BLACK KEYS: I got mine
ALAIN BASHUNG: Suzanne
NINA MORATO: Managanèse
BOLLYWOOD BRASS BAND: Gur nalon (Sax/Whelan mix)
CHICO SCIENCE & NACAO ZUMBI: Rios, pontes & overdrives
MICACHU: Calculator
NAHAWA DUMBIA: Yankaw (Bassino dub mix)
JAQEE: Kokoo girl
LES SAFARI: Les jeunes tigres
ZAO: L’aiguille
CHICAGO AFRO BEAT PROJECT: Fix and release
THE JESUS AND MARYCHAIN: Just like honey

La Conspiration des Planches – 15/09/2010 19h – La rentrée des arts de la scène en grande forme

Votre émission des arts de la scène fait sa rentrée et les planches bruxelloises foisonnent.

Au programme de cette édition:

Bête de Style, de Pier Paolo Pasolini et mis en scène par Frédéric Dussenne. Le Rideau de Bruxelles se veut nomade à l’Atelier 210 jusqu’au 25 septembre.

Sincèrement, d’Olivier Coyette. Bernard Cogniaux met en scène Alain Leempoel et Michel Kacelenenbogen au Public jusqu’au 30 octobre.

PAUSE MUSICALE : Klaxons – Echoes

La Chute, d’Albert Camus avec un Benoît Verhaert en pilier de comptoir. A déguster dans divers cafés de Bruxelles et à l’Atelier 210 jusqu’en novembre.

Yvonne, princesse de Bourgogne, un opéra moderne de Philippe Boesmans tiré de la pièce de théâtre éponyme de Witold Gombrowicz. Une mise en scène de Luc Bondy à voir jusqu’au 21 septembre à La Monnaie.

La Conspiration des Planches, le magazine des arts de la scène de Radio Campus. Tous les mercredis à 19h et en rediffusion le jeudi à 13h30.

Le carnet de route de L.O ce mercredi 15 septembre à 15h00

L.O est un jeune de 16 ans, il a réalisé son récit de vie : celui d’un jeune qui a grandit à Verviers, qui n’aime pas particulièrement apprendre à l’école mais qui possède une mémoire qui lui permet de retenir les choses facilement, les langues notamment, l’anglais ou le russe, par curiosité. Sa vie lui semble monotone. Une vie monotone, est- ce le cas dans une IPPJ ? Et au fond, à quoi ça sert une IPPJ ? Est- ce que l’on a peur d’y entrer ? Comment l’imaginait-il ? Aurait- il pu éviter ce parcours ? Tous les jeunes ne prennent pas les mêmes routes et lorsqu’ils se retrouvent là- bas, ont-ils les mêmes étiquettes ? Et pourquoi faire le dur ? Le métier ou une passion peuvent- ils aider le jeune à se débarrasser de cette étiquette ? Et que faire après un passage en centre fermé pour le restant de sa vie ?